Lisez le premier chapitre de “Légitime Préférence – Qui voudrait perdre le droit de préférer ?”

Le présent ouvrage utilise des formulations susceptibles de heurter la sensibilité de certains lecteurs. Cependant il ne s’agit en aucune façon d’inciter le lecteur à adopter une attitude offensante ou irrespectueuse envers quiconque. Il ne décrit qu’un sentiment de Préférence et propose seulement de cultiver cette attitude intérieurement.

Vous avez dit Légitime Préférence ?

Il existe un groupe génético-culturel dont nous avons un jour
émergé. Un groupe sans qui ni nos parents, ni nos ancêtres,
n’auraient pu voir le jour. Ce groupe, nous lui sommes
redevables de trois choses : La vie elle-même. Les façons dont
nous pouvons mener cette vie. Et les semblables avec qui nous
pouvons nous associer pour faire perdurer cette façon de vivre.

La Légitime Préférence pourrait se définir comme la
disposition d’esprit qui nous fait avantager systématiquement et
exclusivement le groupe à qui l’on doit ces trois choses, plutôt
que les groupes à qui l’on ne doit rien.

Je souhaite qu’elle apporte un antidote à cette tendance
mortifère et tenace, qui se développe chez les Blancs : je parle
de ce sentiment qui va de la méfiance jusqu’au dégoût, envers
l’idée d’appartenance à une famille génétique.

À son paroxysme, cette tendance pousse nos contemporains
Blancs à parader dans le ciel des idées morales, en interdisant à
leurs semblables de défendre leurs intérêts génétiques :
transmettre, sécuriser, faire prospérer. Comme s’il fallait
rembourser le fait d’être né Blanc, et retourner à l’indistinction
raciale le plus vite possible.

À tous ceux qui se battent encore pour cette morale de mort,
la Légitime Préférence apporte une mauvaise nouvelle : nous
n’allons rien rembourser du tout, et prendre tout ce qui nous
revient.

Être exalté par tout ce qui n’est pas nous-même est une
tendance qui devrait marquer quelques individus marginaux ;
ou une bizarrerie passagère d’adolescent, une sorte d’exemple de
ce qui ne fonctionne pas. Mais l’adolescence prolongée qui
semble être un caractère de notre époque, a empiré cette
tendance alterolâtre et nous fait adorer l’autre pour de bon.
Comme une blague absurde qui s’éternise. À notre détriment
absolu.

Persuadés que cela améliore l’ambiance du monde, les Blancs
tombent en renoncement racial comme on tombe en pâmoison.

Cinquante ans après le début de ce théâtre anti-raciste,
dames et damoiseaux indisposés par leur propre réalité
génétique, continuent d’avoir leurs “vapeurs” anti-racistes.

Face à cela, la Légitime Préférence agira comme un sel de
pâmoison d’un genre particulier ; qui révulsera les endormis et
stimulera les éveillés.

Ceux qui considèrent que la morale doit servir nos intérêts
génétiques y verront une évidence. Et les anti racistes
tomberont en pâmoison. Pour ne rien changer.

Le constat sur lequel repose la Légitime Préférence pourrait
s’énoncer ainsi :

Il n’existe aucun homo sapiens générique sur terre. Nous
sommes tous des variétés d’homo sapiens.

Des sous-espèces de ce groupe si vous préférez. En
scientifiquement correct on appelle cela :

“Les races n’existent pas”

Mais dans les laboratoires de la police scientifique, on
appelle cela un “Groupe ancestral”. C’est tout simplement la
réalité de l’existence des races, qu’une partie de nos semblables a
besoin de nier pour se rassurer. Jusque-là, et normalement, la
Légitime Préférence ne pouvait pas se conceptualiser tant il
s’agissait d’une attitude spontanée. Avantager le groupe
génétique et culturel auquel on appartient ne supposait aucune
permission préalable.

Ce qui rend la création du concept de Légitime Préférence
désormais nécessaire est le coût – pour les Blancs – de la vie
dans les sociétés multiraciales occidentales.

Ce coût, c’est celui de la perte de leur terre ancestrale, de la
destruction de leur qualité de vie, de la mise en péril de leur
capacité à perdurer, de leur identité, de leur sécurité et de leur
prospérité.

Si vous estimez que la généralisation de la Légitime
Préférence mettrait en péril l’égalitarisme universaliste, autant
vous le confirmer immédiatement : elle en est l’exact contraire.

Ceci étant dit, il ne faut pas manier ce concept avec
l’indifférence de ceux qui aiment choquer autrui, puis restent
sur cette satisfaction vaine.

À ce sujet, le premier objectif de la démarche Préfériste est
peut-être justement le dépassement du concept de racisme.

On peut pardonner à un concept d’être choquant, à
condition qu’il soit la promesse crédible d’une amélioration et
qu’il apporte avec lui une vision de ce qu’il promet. C’est ce que
j’ai essayé de faire tout au long des chapitres qui vont suivre. La
Légitime Préférence n’est pas seulement une réponse pratique à
la montée globale de la haine antiblancs, et anti occidentale ;
c’est aussi une conception du bien commun qui tire les leçons
du drame des sociétés multiraciales. En ce domaine, les
solutions classiques pratiquées ces quarante dernières années
n’ont pas été payantes.

Pourtant indispensable, le travail des militants politiques
n’est encore jamais parvenu à infléchir la réalité de l’invasion
des territoires d’Europe de l’Ouest. Alors existe-t-il un autre moyen d’aller vers une restauration du droit territorial des
Européens ?

Puisque l’idée de nation culturelle et génétique blanche n’est
plus chez elle en Occident, pourquoi ne pas la faire renaître là
où aucune élite (ni aucun peuple complice de son propre
remplacement) ne pourra l’atteindre ?

Dans le cœur des Européens, premiers concernés. Après
tout, quoi de plus Légitime que ce que l’on ressent tout au long
de sa vie ? Et quoi de plus fort qu’un sentiment légitime qui
subit un régime de censure trop longtemps ?

Quoi de plus tenace qu’un sentiment profond et légitime
que l’on transforme en une “religion” personnelle ?

Bien avant d’enflammer des velléités de reconquête
territoriale dans les esprits, il faut déjà s’être constitué en
communauté d’entraide, et assumer publiquement ce que l’on a
dans le cœur. La Légitime Préférence, c’est d’abord une
légitimité qui ose dire la vérité en public et mettre des moyens
matériels en commun pour montrer la puissance de l’adhésion à
cette cause.

Si ce que nous voulons c’est un sentiment de puissance
collective, nous devons apparaître comme quelque chose
d’impossible à réprimer.

Pour ça la recette est assez constamment la même :
discipline et affects joyeux.

Les exemples abondent du côté des mouvements qui se
rassemblent sur des croyances communes. Qu’on les qualifie de
secte ou de mouvement religieux, ils reposent sur ces deux
mêmes piliers:

Transformer en actions quotidienne ce qui découle de leurs
convictions, et y associer un affect positif.

Le succès et le nombre d’adeptes de certaines de ces
communautés nous montrent que la chose est possible même
avec des discours irrationnels. Est-il possible de faire au moins
aussi bien avec un discours réaliste ? Ou est-ce que la rationalité
de notre démarche constitue paradoxalement un obstacle à sa
réussite ?

Certains chapitres du présent ouvrage se penchent sur la
nécessité d’avoir une communication stratégique pour pallier ce
risque que je crois bien réel.

Nietzsche affirmait que l’absurdité d’une chose n’était pas
une raison contre son existence, mais que c’en était
probablement une condition de réussite.

D’une certaine façon je crois cela vrai. De plus, avoir raison
pousse souvent un individu à se reposer sur le supposé pouvoir
de la vérité.

Mais la vérité n’a aucun pouvoir. La vérité n’est pas une
puissance. La rationalité de notre cause n’est très probablement
pas suffisante à elle seule.

Il est très possible que la Légitime Préférence ne naisse
véritablement que par l’intensité d’une émotion, comme la
sensation d’injustice totale ou de gâchis inadmissible.

Il sera d’autant plus facile d’avantager notre communauté
génétique, chaque jour, à chaque occasion possible, que nous
serons de plus en plus nombreux à trouver le contraire
inadmissible.

Ce livre ne fera pas que répéter toutes ces choses que vous
savez déjà, mais je crois que la répétition des évidences
interdites est un peu comme un livre dans le livre, vous
pardonnerez donc, je l’espère, certaines choses déjà que vous
allez y trouver. J’ai voulu par ailleurs, proposer un concept identitaire qui ne
soit pas trop intellectualisant. En situation de Légitime défense,
les consignes doivent être simples. Nous abreuver d’analyses qui
convoquent des notions savantes et des anecdotes du passé pour
légitimer la cause identitaire européenne ne m’a jamais semblé
efficace. J’ai constaté aussi que les gens ordinaires ont peur
d’enfreindre la loi avec ce qu’ils ont dans le cœur. La perspective
d’une mise à l’index sociale les terrasse facilement.

Mais si une loi autorisait les gens à vous mettre des coups de
poing dans le visage, la respecteriez-vous ? Non. Eh bien
aucune loi ne vous interdit de préférer vos semblables. Alors
vous pouvez poser ce livre et commencer dès maintenant.

Mais si vous avez un peu de temps devant vous, il y a une
suite.

Nos moyens de communication dématérialisés ne
témoigneront pas de ce que notre époque nous inflige. Ils sont
conçus pour dévorer notre bien le plus précieux, le temps, et
réécrire les faits en effaçant ce qui gêne l’esprit de la masse.

En laisser une trace écrite est plus nécessaire qu’il n’y paraît.
J’avais initialement pensé en faire l’économie, mais il n’est pas
pertinent de faire une méthode sans décrire le problème qu’elle
résout. Décrire un problème c’est donner l’angle avec lequel la
hache de la solution va frapper.

Nombre de Blancs constatent que dans tous les pays bâtis
par des Blancs, de fausses minorités se sont installées, et y
deviennent majoritaires, notamment dans les prisons. Les
Blancs, réellement minoritaires, sont appelés “majorité”. Ce qui
empêche de penser la situation démographique réelle. Le
scientifiquement correct assiste ce déni général, en affirmant
que les races seraient des fictions. Ce qui est techniquement
faux, nous l’avons dit.

Les exactions les plus révoltantes contre les Blancs sont
présentées comme des colères légitimes, ayant une explication
sociologique. Quand elles ne sont pas simplement ignorées ou
sous-évaluées. Différentes dissidences de droite comme de
gauche, en mal d’audience, diffusent l’idée selon laquelle les
médias chercheraient à nous diviser, pour susciter une “guerre
civile”. Piège à éviter absolument selon eux.

En effet, quel paradis ce serait si seulement les médias
n’évoquaient pas les enrichissements de la diversité de temps en
temps.

Pourtant que ce soit dans les prisons, dans nos métropoles,
dans nos villages, dans les établissements scolaires, etc., tous les
indices qui mesurent ce que subissent les Blancs de tous âges,
racontent une autre histoire : les médias n’encouragent pas du
tout la division. Ils taisent tout ce qui pourrait la susciter.

Un site spécialisé dans la diffusion de ces informations
gênantes est consulté chaque jour par des centaines de milliers
d’internautes blancs en France, qui veulent qu’on leur confirme
qu’ils ne rêvent pas. Étrange cauchemar qui naît de la certitude
que nous ne rêvons pas. Mais alors que fait-on ? Hormis
devenir dépendants de l’angoisse elle-même ?

Le narratif officiel, lui, répète que tout ne va pas trop mal.

Si vous avez été victime d’un attentat en France, impliquant
des soldats d’allah et que vous avez besoin d’une prise en charge
psychologique, il est probable qu’on vous proposera d’en parler
avec … un psychologue musulman. Habilité à l’écoute
bienveillante, il se contentera en réalité de vérifier votre
adhésion au dogme du vivre ensemble.

Il se trouve que c’est effectivement ce qui s’est passé juste
après les attentats du Bataclan.

De plus, et selon les experts, la haine serait du coté blanc, et
la colère du côté de la diversité.

Haine, colère. Deux mots qui portent en eux toute une
analyse prémâchée. L’une est une laideur morale dégoûtante,
l’autre une révolte légitime dont il faut absolument comprendre
l’origine afin de la soulager.

De plus en plus de gens remarquent cette musique
insistante, qui encourage les femmes blanches à se questionner
lourdement sur la maternité. Les femmes blanches seulement.
Des centaines de marques les “marient” de force avec des corps
africains sur des affiches publicitaires orwelliennes, qui traitent
nos femmes comme si elles étaient de vulgaires macrons en
visite en Guadeloupe. La publicité survalorise la virilité non
Blanche, tandis que les médias assimilent facilement virilité
blanche et extrémisme politique. Toute une ambiance mentale
s’additionne au ressentiment antiblanc et concourt à construire
une pente irréversible. La mise en danger volontaire du groupe
biologique auquel nous appartenons est la tendance
anthropologique de fond du XXIe siècle.

Quelques ouvrages marginaux évoquent ce sujet précis à un
public de niche, mais un couvercle de fonte reste globalement
posé sur ces questions.

De nombreux intellectuels de droite présentent des théories pour tenter d’expliquer ces phénomènes. Comme vous peut-
être, j’ai consacré beaucoup trop de temps à les écouter.

Libéralisme et capitalisme sont analysés sous tous les angles.
L’immigration-invasion est présentée comme une conséquence
parmi d’autres, de ces deux paradigmes. Leurs analyses, parfois
utiles, s’articulent avec d’autres analyses. Mais ne débouchent
jamais sur une pratique quotidienne concrète qui puisse
améliorer notre situation. La grande récapitulation argumentative souverainiste débouche encore et encore sur la
défense des identités culturelles et nationales. Pourtant le
problème est tout autre.

L’identité culturelle/nationale est importante, puisqu’elle
émane de l’identité biologique. Elle en est la fleur. Mais les
identités biologique et culturelle occupent deux rangs distincts.
L’identité biologique, c’est le bois dont est faite la maison,
l’identité nationale et culturelle, c’est la résine qui est venue
recouvrir et patiner ce bois.

Pour connaître la solidité de l’ensemble, ou faire face à ce qui
menace la structure, c’est le bois qu’il faut regarder. La surface a
son importance, et on peut y être attaché pour d’excellentes
raisons, mais elle n’est pas la véritable cible des agressions qui
nous visent. Nous voyons parfois trop nos différences, mais
pour beaucoup d’autres peuples, nous sommes tous les mêmes.

Quand un Blanc est violé par un Noir dans une prison
occidentale par pure haine raciale (ce qui est très fréquent selon
Human Rights Watch), son identité nationale n’a pas le temps
d’exister. Et en y réfléchissant, ces viols très particuliers à propos
desquels toutes les sociétés occidentales dressent un mur de
silence, sont révélateurs du volcan sur lequel notre société est
assise. Terrifiée à l’idée de regarder en face ce que cela implique
vraiment, et à quel point nous avons fait entrer le loup dans la
bergerie.

Certains, comme le communiste pro-algérien Alain Soral,
qui se définissait chez l’animateur de talk-show Thierry
Ardisson comme un porteur de valise du FLN (un allié des
assassins du FLN), ont fait croire à la possible révolte des
nations contre la gouvernance globale.

Mais la seule révolte qui a eu lieu, c’est celle des élites
occidentales contre leurs propres peuples.

Les dirigeants occidentaux ont tout simplement élu un autre
peuple. Ils nous montrent concrètement ce qu’est le contraire de
la préférence légitime, pendant que le peuple lui, valide leur
choix en les reconduisant au pouvoir.

Chaque ministre de l’intérieur qui doit tenter de gérer le
chaos d’une société multi-raciale d’une façon nouvelle pour se
démarquer de l’échec précédent, ne peut qu’appuyer sur les
mêmes boutons cassés ; comme un automate détraqué qui doit
arracher un clou tout en tapant dessus.

Moins la déesse sociologie permet de comprendre la réalité,
plus les prêtres socialistes lui organisent des sacrifices.

Dois-je vraiment préciser qui est sacrifié ?

La réponse à apporter à notre situation n’est plus seulement
de nature politique. Elle est devenue racialement
communautaire, sa granulométrie et sa nature chimique ont
changé.

Désormais nous n’avons plus d’interlocuteurs. Nous
affrontons une ambiance.

Et elle est mondialement antiblanc.

Dans ces conditions, en rester à la révolte des nations et ne
pas mondialiser à son tour la solidarité des blancs, c’est perdre
dès maintenant. Dans la propagation de cette haine très particulière,
comment ne pas voir le ressentiment des faibles contre les forts,
qui se synchronisent avec les moyens d’internet ? Ce
ressentiment ne s’arrêtera pas avec plus de rationalité, ou de
meilleurs échanges économiques. Nous sommes face à des
peuples qui n’ont souvent ni le désir, ni parfois les moyens
cognitifs de comprendre notre point de vue et nos intentions
réelles ou de vouloir notre bien.

Parmi eux, une partie manifeste son désir de revanche de
façon seulement verbale. Une autre partie passe aux actes. Et
pas que physiquement. Pour l’heure, la partie qui ne fait que
parler est majoritaire. Mais la minorité qui prescrit les actions à
mener ne dort jamais, et ne restera sans doute pas au score
actuel.

Déjà des sociologues (Blancs) endoctrinés militent en
produisant de la fraude scientifique qu’ils livrent aux médias.
D’après une étude peu crédible menée par ces “scientifiques”
militants en France, le prénom le plus donné par les
maghrébins français de troisième génération serait… Nicolas.

Étonnant n’est-ce pas ?

C’est également un peu faux aussi.

Cet article publié en avril 2019 dans la revue “Population et
sociétés” par Patrick Simon et Baptiste Coulmont, cherchait à
nous “prouver” que l’intégration de cette communauté se passe
étonnamment bien.

Un sociologue français conscient de la fraude manifeste a
vérifié ce chiffre. Il y a en réalité 11 maghrébins de troisième
génération portant ce nom en France…

Mentir est le premier verbe de l’idéologie métissante.

Bien que ces constats puissent nous inquiéter, cette stratégie
du mensonge et de l’hystérie annonce que nous affrontons une
idéologie à courte durée de vie.

Dire la plus haute vérité qu’il nous est possible, celle du
réalisme racial, est peut-être la meilleure façon de nuire à ces
fraudes et à cette dissimulation du réel.

D’autant que ce que nous avons à rappeler est peut-être
toujours présent dans l’inconscient des peuples de l’Ouest. Nos
contemporains le refoulent par crainte d’être bannis socialement, mais notre message n’est sans doute pas une entière nouveauté
pour eux.

Enfin, la Légitime Préférence veut aussi être un antidote à
l’altruisme déviant.

Ce qui constitue peut-être d’ailleurs le premier des biens
communs pour nous : empêcher le dévoiement de la
compassion de notre peuple, en faveur d’intérêts tiers.

Bien qu’elle ne cherche pas à expliquer les raisons de cet
altruisme dysfonctionnel, mais seulement à le résoudre comme
un problème, la Légitime Préférence fait apparaître en quoi cet
altruisme dysfonctionnel est peut-être en fait un simple
déséquilibre, et pas du tout un vice en soi. En effet, la
“gentillesse” blanche ne doit absolument pas être éradiquée,
mais contenue, cadrée, rééduquée.

La Légitime Préférence est le cadre dans lequel elle pourra
s’exercer de façon non pathologique.

S’il est vrai que nos opinions sont largement gouvernées par
la génétique, existe-t-il une “recette” pour réparer l’altruisme
blanc ?

Est-ce une nouvelle idéologie, une nouvelle génération, ou
une nouvelle configuration sociale qu’il faut viser pour sortir de
l’ornière ?

Ce livre va vous proposer des réponses.

La première d’entre elles, si notre but est bien l’amélioration
de la société et le progrès, est de nous comporter comme les
cellules d’un organisme.

En biologie on parle du “soi” et du “non soi” d’un organisme.

C’est ce qui fait qu’aucune de vos cellules, ne travaillent
jamais pour le compte d’un autre organisme. Vos cellules vous
“préfèrent” systématiquement. (Même si vous êtes de gauche).

Contre toutes les protestations morales ou égalitaires, cette
règle fonctionne aussi à l’échelle des groupes génético-culturels
humains.

Ce groupe qui inclut nos ascendants et nos descendants,
constitue notre vaisseau racial. Voyez-le comme une sorte
d’organisme temporel. En lui accordant votre Préférence vous
vous comportez comme vos cellules se comportent envers vous.

Comme nous l’avons dit plus haut, “l’homo sapiens” en soi, n’existe pas sur terre. Nous appartenons tous à une sous-
catégorie de cette espèce.

La police scientifique le démontre en utilisant l’ADN pour
classer les suspects en différents “groupes ancestraux”.

Les incompatibilités raciales dans le domaine des greffes de
moelle ou de dons d’organes, achèvent de démontrer qu’il ne
s’agit pas là de constructions sociales. Certaines maladies
également sont spécifiques à des groupes humains particuliers,
et mettent mal à l’aise les idéologues qui grenouillent dans le
déni. Notre façon d’appartenir à l’espèce homo sapiens est donc
un élément fondamental de ce que nous sommes. Les
différentes races sont peut-être simplement un phénomène de
spéciation en cours, à l’issue duquel nous pourrions augmenter
notre distance génétique les uns par rapport aux autres, et ainsi
devenir peu à peu des espèces réellement différentes.

Naturellement cette perspective nous oblige à envisager les
choses sur le très long terme.

Mais à ce stade nous pouvons faire une remarque:

Un homme de gauche universaliste est finalement quelqu’un
qui souhaite que ses propres cellules n’adoptent jamais sa
ligne idéologique.

Mais aussi quelqu’un qui s’oppose, pour des raisons de
modes intellectuelles fantaisistes, à un processus de
diversificationdu vivant. Le projet de métissage étant
fondamentalement unappauvrissement.

Cette attitude a évidemment été valorisée par les
philosophes dela French Theory, à travers des concepts très en
vogue comme celui de “Corps sans organe” proposé par le
philosophe Gilles Deleuze par exemple.

Concept qui va jusqu’à affirmer que le corps et son système
organique seraient des prémices de fascisme.

Le Préférisme, qui tire son modèle de fonctionnement du
corps lui-même, était donc déjà pressenti comme le cœur de ce
qu’il fallait abattre par l’intelligentsia gauchiste.

Faire primer la conscience morale sur la continuité
biologique est un dévoiement de l’intelligence individuelle.

La conscience individuelle est le moyen par lequel nous
pouvons échapper un peu aux déterminismes du groupe auquel
nous appartenons. Cet écart maîtrisé par rapport au groupe
nous permet de goûter à l’expérience artistique, philosophique,
et à une solitude nécessaire et stimulante. Mais la conscience
individuelle exacerbée, peut faire commettre une erreur
dangereuse à l’intelligence en la désolidarisant du groupe
génétique dont elle est l’émanation. La Légitime Préférence est
donc une attitude de rééquilibrage.

Notre individualité traverse le temps court. Elle voit
aisément les changements culturels, et peut s’y opposer s’ils
sont désavantageux. Notre groupe génétique traverse le temps long. Il fait subir un test à notre sens de la préférence.
Tout individu naît en état de dette envers lui.

La Légitime Préférence est la monnaie avec laquelle nous
pouvons rembourser cette dette joyeuse.

Contrairement aux dettes financières, ou aux dettes
religieuses(comme le péché originel), la dette légitime envers
notre groupe génétique est en effet une dette joyeuse.

Parce que lorsque vous la remboursez, vous augmentez votre
puissance individuelle et collective.

La Légitime Préférence vous fait prendre conscience que
vous êtes plus qu’un individu.Vous êtes une lignée qui traverse
le temps et conquiert des espaces.

Elle mérite que vous lui donniez un avantage.

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